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ASTUCES DU MAITRE(SSE)
QUELQUES
PRATIQUES BD/SM
ATTACHER
QUELQU'UN CONTRE UN MUR
Si
vous êtes un dominateur ou une dominatrice équipé
le problème ne se pose évidemment pas, vous avez
un donjon avec une croix de st André et/ou des anneaux
fixés dans le mur…
Mais si vous vous rendez
chez quelqu'un que vous voulez soumettre en l'immobilisant
verticalement, et que rien n'est prévu pour ce genre de
choses ? Les murs sont encombrés d'un tas de trucs, et de
toute façon il n'entre pas dans vos intentions de lui
démolir son appartement
Comment
faire ?
Premier cas, vous avez amené un peu de
matériel :
1
- Fixer 4 bracelets en cuir munis de clips à votre
esclave : 2 aux poignets, 2 aux chevilles
2
- Choisissez l'une des portes de la pièce ou vous allez
pratiquer la soumission
3
- Prenez une corde et fixez en l'extrémité sur la
poignée de la porte (mais attention, la poignée
EXTERIEURE à la pièce)
4
- Faites passer la corde par-dessus la porte
5
- Ordonnez à votre esclave de se mettre contre la porte
et de lever les bras
6
- On va faire rejoindre l'autre extrémité de la
corde aux 2 clips des poignets que l'esclave va joindre (une
variante consiste à clipper préalablement les
poignets à une barre d'écartement, il faudra alors
fixer la corde au centre de la barre)
7
- On ne serre pas le nœud pour l'instant, il faut
maintenant s'occuper des chevilles
8
- Pour les chevilles, pas besoin de corde, mais une barre
d'écartement clippée sur les bracelets de
chevilles
9
- Vous pouvez régler maintenant la corde, ( vous le
faites comme bon vous semble, mais un bon réglage
consiste à tirer vers le haut jusqu'à ce que
l'esclave n'ait que la pointe des pieds en contact avec le sol)
et la nouer !
10
- Votre esclave est maintenant attaché, il lui est
impossible de se délivrer Un avantage de cette
pratique, c'est que si vous voulez le retourner afin qu'il vous
présente ses fesses, il est très facile de le
faire pivoter, sans avoir à le détacher…
Deuxième
cas, la domination est tellement improvisée que vous
n'avez aucun matériel. Il faut donc trouver des
bricolages de substitution
1)
Remplacer les 4 bracelets par de la ficelle, dont vous doublerez
ou triplerez l'épaisseur, ces bracelets devront être
bien serrés, mais devront malgré tout laisser
passer la corde.
2)
La corde peut être remplacée par de la corde à
linge
3)On
peut se débrouiller pour faire une barre d'écartement
avec un rouleau à pâtisserie, un manche à
balai, un tube d'aspirateur, ou si vous êtes à la
campagne, un bon bout de bois !
4)On peut aussi par la
même méthode, fixer l'esclave à l'envers (la
tête en bas)…
LES
9 REGLES DES MENOTTES
1.
N’achetez pas des menottes bon marché
Les
menottes bon marché peuvent être facilement cassées
ou ouvertes. Une bonne paire de menottes peut être achetée
dans un magasin vendant des articles destinés à la
police ou auprès de fournisseurs Sm de renom.
2.
N’achetez pas de menottes sans un mécanisme de
double fermeture
Habituellement,
le blocage se fait en insérant la partie pointue de la
clé des menottes dans un petit trou situé sur le
dessus des menottes. Le déblocage se fait en tournant la
clé dans la serrure normale. N’achetz pas de
menottes dont le blocage se fait au moyen d’un petit
levier. C’est caractéristique des menottes
bon-marché. Ce système de levier peut se débloquer
sans qu’on le fasse exprès et à l’usage
il devient moins efficace.
3.
Toujours verrouiller les menottes après les avoir
appliquées.
Des
menottes non verrouillées peuvent se resserrer sur les
poignets si le " prisonnier " bouge ou
change de position, et peuvent occasionner des dommages aux
nerfs.
4.
Ne serrez pas trop les menottes
Les
menottes n’ont pas besoin d’être trop serrées
pour assurer une immobilisation. Ne serrez pas les menottes plus
que nécessaire. Du moment que les mains ne peuvent sortir
des menottes c’est suffisamment serré. On doit
pouvoir bouger les menottes sur les poignets de votre prisonnier
après qu’elles soient verrouillées. Assurez
vous qu’elles ne coincent pas la peau.
5.
Ne suspendez jamais votre prisonniere par des menottes
Cela
peut causer de graves dommages aux nerfs. Etre suspendu(e) les
bras au dessus de la tête avec des menottes en acier, même
avec les pieds au sol, peut causer de sérieux dommages si
la tension est grande ou la position gardée plus de
quelques minutes.
6.
Ne menottez pas en faisant un grand mouvement à la volée
Vous
pouvez briser le poignet de quelqu’un en agissant ainsi.
Le bord extérieur de la menotte doit être appliqué
contre le poignet, une courte pression sufft à refermer
la menotte. Entrainez vous sur vous-même jusqu’à
ce que vous maitrisiez cette technique. Si vous vous faites mal,
vous ferez mal au prisonnier.
7.
Attachez les mains derrière le dos
A
moins que fixées autrement, les menottes portées
devant peuvent être une arme dangereuse. Pour les scènes
SM ou la sécurité est moins importante que le fait
de minimiser le danger pour le (la) soumis(e), il vaut mieux
attacher les mains derrière le dos, les paumes des mains
se faisant face. La position où le dos des mains de font
face offre une meilleure " sécurité "
en limitant plus les mouvements potentiels (c’est pourquoi
les policiers sont entrainés à menotter ainsi)
mais est plus risquée et moins confortable.
8.
N’attachez pas les chevilles directement avec des menottes
Les
menottes aux chevilles n’ont pas besoin d’être
très errées pour rester en place. Si elles sont
serrées le (la) soumis(e) ne pourras pas marcher, et la
pression peut endommager le tendon d’Achille ou blesser la
cheville. Les menottes aux chevilles par dessus les bottes sont
préférables si vous voulez que le (la) soumis(e)
puisse marcher.
9.
Gardez le double des clés à portée de main.
Rien
de plus désagréable que d’essayer d’enlever
les menottes du prisonnier ou celles que vous vous êtes
mises et de vous apercevoir que vous ne trouvez plus les clés !
LES
GLACONS
Contrairement
à d'autres accessoires (orties, bougies…) les
glaçons sont d'une apparition récente dans les
relations SM ! La raison en est toute simple, le réfrigérateur
est une invention moderne et sa banalisation l'est encore
davantage. On manque donc d'un certain historique, mais
qu'importe ! Cela n'a pas empêché les
classificateurs invétérés d'en cataloguer
les amateurs dénommés désormais cryophiles
!
Contrairement aux objets nommés plus haut ; il
existe aussi une utilisation non SM du glaçon (non SM
mais néanmoins très érotique) sur laquelle
il convient de dire deux mots :
La pratique s'appelle la
bouche glacée, et consiste simplement à se placer
un glaçon dans la bouche, d'attendre quelques instants
que le palais se rafraîchisse puis sans le retirer de
pratiquer au choix : un french-kiss, une fellation, un
cunnilingus, un anulingus, un suçage de seins….
D'une efficacité redoutable !
Mais revenons au SM
! Comment se servir des glaçons ?
Et d'abord cette
évidence, un glaçon ça fond, pensez à
prévoir une serpillière… de toute façon
c'est votre esclave qui épongera non ?
Au passage
je déconseille les glaçons en plastique, ces
affreuses choses ne restent pas froid assez longtemps et ne
permettent pas certaines pratiques très osées dont
je parlerais plus loin !
Quelle grosseur ? Evitez les
mini glaçons qui fondent trop vite, évitez aussi
les icebergs qui en limiteront les possibilités, comme en
tout, la bonne mesure est la moyenne. La forme n'a, elle aucune
importance.
Comment prendre le glaçon : il y a des
gens qui supportent plus ou moins le froid, si cela doit être
un " supplice " pour le soumis, il ne faudrait pas non
plus que cela en soit un pour le dominateur, alors
-
la solution la plus simple est encore de changer de main
fréquemment et de faire des pauses - on peut aussi se
protéger avec des gants en latex, mais le froid finira
par traverser - Enfin on peut se servir tout simplement d'une
pince à glaçon !
Comment appliquer le
glaçon :
Le badigeonnage : C'est ce que
je conseille de faire " en début " de séance
" Le dominateur prend le glaçon et en parcours le
corps du soumis, la peau est à chaque fois non préparée
à cette agression et il s'ensuit une impression d'abord
ressenti comme désagréable mais qu'on peut vite
sublimer. Les parties que l'on peut ainsi toucher sont les
cuisses, le ventre, les bras, le cou, les seins, le dos (ah
cette impression de froid dans le dos…) les fesses.
Les
applications constantes : On choisit un endroit du corps et on
applique le glaçon sans le bouger ou en effectuant des
déplacements très limités, ou encore en "
tamponnant " ! Si le sujet est coucher on va simplement le
poser ! Ça ne fait pas grand-chose, passé le
premier contact, la peau va finir par s'habituer sauf pour ce
qui est des zones érogènes, sexe, tétons et
anus où les zones érectiles vont réagir
Cas
particulier de l'anus et du vagin : le fin du fin pour ces
organes, c'est d'appliquer une pression avec un glaçon
devenu de taille moyenne, après une minute de ce
traitement (ou plus) on appuie et on fait entrer l'objet dans
l'orifice ! Sensation garantie !
Les amateurs d'uro
peuvent aussi s'amuser a confectionner des glaçons
d'urine… ça change !
Annexe : J'ai eu
l'occasion un jour de voir à l'œuvre un glaçon
en forme de gode, curieuse je demandais comment on pouvait
réaliser ce moulage, on m'expliqua qu'il s'agissait d'un
bac avec deux moules épousant chacun la forme d'un demi
gode coupé dans le sens de la longueur, il suffisait
ensuite de souder les deux morceaux par le froid en les
maintenant l'un contre l'autre à l'intérieur du
freezer. Je ne vous dis pas l'effet que peut faire ce truc là
! Je n'en ai jamais retrouvé (je n'ai pas trop cherché
non plus) La conception devait être artisanale. Mais ne
voilà-t-il pas une super bonne idée pour un
article de sex-shop!
L'ART
DE LA FESSEE
Comme
je vous l'avais dit, je pense qu'une fessée doit
s'accompagner du maximum d'humiliation: tout d'abord, le futur
puni doit le savoir largement avant afin de s'imprégner
et de bien comprendre que la punition est inéluctable et
qu'elle sera appliquée sans sadisme mais sans aucune
faiblesse ni pitié.
Il faut être tout à
fait claire et édicter distinctement que compte tenu de
son attitude détestable, il recevra une fessée
très rapidement ; vous devez prévenir votre future
victime au moins 24 à 48 h avant le châtiment : la
peur et la réflexion sont toutes deux excellentes
conseillères !!!!
Une fois la décision
prise et annoncée, les ordres devront être donnés
de façon très ferme, sans crier mais ils sont
définitifs et toute réflexion ou tentative de
rébellion sera comptabilisée en plus de la
punition: cela devra être je pense annoncé à
part.
par exemple:
"Tu vas recevoir une bonne
fessée pour t'apprendre à vivre. Ton insolence ou
ta rébellion te vaudra xx coups supplémentaires
qui te seront infligés à la fin de la punition
principale. Plus un mot et exécution car sinon...
"
L'instrument devra soit être prêt à
servir dés que la date et l'heure prévue seront
atteintes.
(Si la punition doit être infligée
dans un autre endroit que la maison, il faudra faire transporter
les instruments au puni : savoir que dans le sac qu'il porte se
trouvent des engins qui vont lui rougir les fesses aura un effet
extrêmement salutaire et ramollira si besoin en était
toute velléité de rébellion)
Si la
punition a lieu à la maison, soit le puni devra aller
chercher le ou les instruments, soit ils seront en évidence
posés prés du lieu choisi pour l'exécution.
Les instruments de la punition pourront être, au
choix : martinet, twase, paddle, strappe, ceinture, lanière
ou même, dans les cas graves cravache ou fouet…. Ou
tout autre engin : je fais amplement confiance à votre
imagination pour trouver d'autres outils de châtiment.
Avant
de commencer la punition, il serait je pense de bon ton
psychologiquement d'expliquer en détail au puni pourquoi
il est puni, ce qu'il va recevoir, ce que mérite son ou
ses attitudes etc...
En ce qui concerne la posture ou la
position du puni à l'écoute de la sentence, ce
sera je pense à votre convenance: les mains sur la nuque
ou dans le dos, la tête baissée ou pas, à
genoux ou debout etc...
De la même manière
je ne sais pas s'il est besoin que le puni soit déjà
en tenue pour sa fessée lorsqu'il écoute la
sentence…je pense que non mais ça, cela ne dépend
que de votre volonté.
Après l'exposé
fait d'une voix calme et posée des motifs de la punition,
vous devrez annoncer d'un ton définitif, le nombre de
coups prévus et les instruments qui seront employés
; puis, il faut ordonner au patient de se mettre en tenue (si
besoin) ou en place et lui expliquer très clairement la
position désirée pour le châtiment: les
mains, les bras, les jambes le torse, les reins cambrés
ou pas, appuyé sur une table ou penché sur le
dossier d'un canapé ou d'un fauteuil etc... Pensez à
votre bien être, c'est cela qui compte afin que la
punition soit distribuée sans fatigue ni gène.
Je suis persuadée qu'obliger le futur puni à
se déculotter lui-même est extrêmement
salutaire et surtout bien plus humiliant. A ce propos, ne faites
pas enlever complètement son pantalon et son slip à
votre futur puni : vous ne devez frapper que sur les fesses et
de cette façon, le dos et les cuisses seront ainsi
protégées…tout en vous permettant d'admirer
le fessier de votre puni, bien mis en valeur par les vêtements
toujours présents, encadrant et enluminant votre "
cible ".
Il faut de même expliquer que toute
tentative de protection des fesses par une ou des mains, que
tout essai de se dérober, tout trémoussement
obscène, tout changement de position vaudra à
l'auteur un supplément gratuit... et non comptabilisé
dans la punition elle-même; la punition prévue sera
appliquée toujours jusqu'au bout, sans égard pour
les plaintes geignements ou supplications du puni: ces plaintes
peuvent même, si elles dépassent les bornes de la
bienséance valoir à leur auteur une volée
supplémentaire qui lui sera distribuée
généreusement soit au cours de cette punition,
soit lors d'une future fessée si vous pensez que les
limites de votre puni sont atteintes…vous verrez c'est
assez facile de savoir si votre puni a atteint les bornes
supportables : Les cris et geignements changent, l'attitude est
différente, les supplications ont un accent qui ne trompe
pas ; ne vous laissez pas abuser par des larmes de crocodiles
que certains punis savent faire couler rapidement et avec
abondance : vous connaissez votre victime, soyez impavide et
INFLEXIBLE : il vous remerciera pour cela, vous verrez…
Donc
en résumé, une fois les limites atteintes,
rajoutez tout de même quelques sévères
cinglages (4 ou 5 ) afin qu'il comprenne bien que c'est
sérieux…
Les coups seront donnés
donc, régulièrement avec une force à peu
prés égale et sans violence inutile ou déplacée:
c'est une punition réelle, donnée parce qu'il le
faut bien. Ce n'est pas un jeu : les coups seront appuyés
et fermes.
Une fois la fessée terminée, le
puni devrait être - selon la gravité des fautes
reprochées - mis au coin, les fesses rougies exposées
à la vue de son fesseur et des éventuels
spectateurs. Les mains sur la nuque, il restera là en
exposition pendant quelques temps, afin de méditer sur
les conséquences de ses actes...
Lorsque
l'exposition au coin se termine, le patient est invité à
se reculotter; à ce moment, il peut être utile de
le sermonner une nouvelle fois en lui expliquant bien que tout
manquement ou toute insolence, toute attitude agressive ou tout
mensonge, toute plaisanterie douteuse ou bêtise sera
répercutée sur ses fesses sans haine mais sans
aucune faiblesse: La gentillesse et la patience ont atteint
leurs limites hautes: toute faiblesse sera désormais
bannie et toute infraction sanctionnée puisqu'il ne
comprend que la manière forte, celle-ci sera employée
à chaque fois que cela s'avèrera nécessaire
: c'est à dire souvent et sans faiblesse aucune.
Pour
ne rien oublier des fautes ou infractions commises, il est
conseillé de posséder un carnet dont il sera fait
mention plus bas dans cette lettre.
Je pense qu'une
punition de ce type se doit d'être infligée sans
aucune entrave ni lien car le patient doit l'avoir soit
réclamée, soit savoir tout au fond de lui qu"il
mérite amplement cette fessée. Si vraiment il n'y
a pas moyen de le faire rester tranquille sous la fessée,
il faudra l'immobiliser et toujours lui infliger un surcroît
de claques non comptabilisées dans la sentence: toute
peine mérite salaire.
Une fois que le puni est en
position, la fessée peut commencer. Les coups doivent
tomber régulièrement non seulement sur toute la
surface exposée mais aussi assez lentement afin que la
douleur de chaque coup soit répercutée dans les
fesses avant que le coup suivant ne tombe.. Pour accentuer son
humiliation, vous pourriez lui demander de compter les coups
d'une voix haute et intelligible : toute erreur, omission ou
faute entraînant automatiquement la reprise au tout début
de la punition.
Par contre, lors des suppléments,
les coups peuvent être assenés plus vite mais tout
aussi fermement.
Pour ce genre de punition, il peut être
utile de posséder une espèce de petit carnet ou
noter les lieux heures et infractions qui vaudront au puni de
recevoir une nouvelle fessée. En effet on ne pense pas
toujours à tout... Il faut que cette comptabilité
soit claire précise et non abusive: des faits et
attitudes ou réflexions qui VRAIMENT nécessitent
punition.
De temps en temps, il faut faire le point avec
ce carnet de notes et... agir en conséquence: cela permet
de doser justement le châtiment du puni.
Une fois
la punition finie, on n'en parle plus, on met le carnet à
jour et on est reparti pour une nouvelle vie, sur des bases
clairement définies et rappelées éventuellement
lors de chaque séance de fessée. Le puni doit
comprendre et savoir que certes il est châtié car
il a été méchant, désobéissant
ou insolent mais que vous ne faites que votre devoir : vous le
faites sans haine mais fermement. Une fois la punition
complètement subie, vous pardonnez : il faut le dire
clairement de façon à ce que le puni sache que
tout est oublié.
Je pense que le top de ce genre
de séance c'est que le puni sache et demande sa punition:
cela démontre de façon éclatante qu'il sait
qu'il a mal fait et qu'il réclame son châtiment et
comme chacun le sait... qui aime bien...
LE
FOUET ET LA FLAGELLATION
Il
semblait tout d’abord évident que dans l’imagerie
générale du hard, les sévices corporels
tiennent le haut du pavé. Suivi de prés par tout
ce qui touche à l’entrave : BONDAGE, MENOTTES,
LIENS, MOMIFICATIONS, etc… La troisième grande
ligne étant le rapport dominant dominé avec toutes
ses variantes et implications.
Dans
l’esprit de beaucoup, adeptes ou non de ce genres de
pratiques, le SM c’est d’abord l’idée
d’un corps soumis à la souffrance et d’un
maître qui inflige cette souffrance.
Naturellement
cette dernière prendra tous les aspects possibles et
imaginables : bougies, aiguilles, pinces, électricité,
scarification, brûlures, et bien entendu la flagellation.
La
flagellation qu’est ce que c’est ?
Ce
mot du 14 éme siècle, vient de la famille latine
de FLAGRUM signifiant fouet à plusieurs lanières
garnies de boutons de métal et d’os. Dans la même
famille on trouve le mot FLAGELLUM : fouet plus petit et
cinglant.
Le
mot fouet quant à lui est un mot du 13 éme siècle,
qui vient du latin FAGUS, le hêtre, et signifie verge de
hêtre.
A
noter que le mot fléau, instrument pour battre le blé,
a la même racine ; ainsi que le mot fêlure qui
signifie littéralement trace de fouet.
Il
est intéressant de noter que déjà dans le
latin ecclésiastique, le mot fléau signifie aussi,
châtiment envoyé par DIEU.
On
le voit donc, la flagellation inclus l’idée
d’instrument, de mouvement, et d’action. On pourra
donc fouetter son partenaire avec toutes sortes d’ustensiles :
fouet, verge, bâton, badine, canne, bambou, ceinture,
ceinturon, lanière, courroie, martinet, chat à
neuf queues, cravache, baguette, nerf de bœuf, chambrière,
orties, chardons, épines, herbes, raquettes, paddles,
battes, …la liste n’est pas exhaustive et laisse
libre cours à votre imagination.
Les
gifles et les fessées même si elles peuvent faire
partie intégrante d’une bonne flagellation font
souvent l’objet d’une séance à part
entière et nécessitent une technique qui leur est
propre. Nous ne ferons que la survoler ici.
Si
l’on essaie de dresser un arbre généalogique
de la flagellation, on se rend vite compte que cette pratique a
dans l’histoire trois grandes utilisations:
On
trouvera bien sûr une interconnexion entre la religion et
la punition.
Mais
je vous rassure, l’homme a toujours su se servir de son
imagination et de son environnement pour son plaisir. C’est
pourquoi, une quatrième utilisation de la flagellation,
sexuelle cette fois, apparaît en filigrane tout au long de
l’histoire, et ce dés le Kama Sutra. Elle n’est
cependant un phénomène sexuel, clairement assouvi
et assumé que depuis le 17 éme siècle.
Religieusement,
la flagellation est utilisée souvent pour atteindre des
états de transe. Les chaman par exemple considèrent
que c’est un excellent moyen de se perdre soi-même
afin d’entrer en contact avec Dieu. Lors de cérémonies
ou de rites, on utilise la flagellation afin d’attirer
l’attention des divinités ou de rendre les femmes
fertiles. Le culte de diane chasseresse par exemple donnait lieu
à de véritables concours de fouet.
Les
missionnaires quant à eux ont allègrement utilisé
le fouet en Afrique, au Mexique ou au Paraguay, afin de forcer
les populations à se convertir.
Médicalement
on a fouetté les fous entre le 17 et le 19 éme
siècle. A Rome, le culte de Junon demandait à se
que l’on fouettât les femmes pour lutter contre leur
stérilité. Et d’une façon plus
général on a longtemps cru que la flagellation
aidait à lutter contre l’impuissance.
On
a souvent utilisé le fouet en guise d’électrochoc
pour « réveiller » un malade ou une
personne dérangée.
Dans
l’armée, dans la police, dans la marine… on
a également largement utilisé la flagellation. Les
mutineries étaient punies par le fouet ainsi que les
manquement à la règle. On recourait également
au fouet pour faire des exemples. Pour calmer des ardeurs
belliqueuses ou des récalcitrants. Des déserteurs
furent fouettés ainsi que des soldats en cas d’échec
de leur mission.
La
police s’en servait régulièrement pour punir
des fautes ou faire parler des suspects. Il n’était,
par exemple, pas rare d’attacher une prostitué nue
sur un âne. On lui faisait faire tout un périple
jusqu’à la prison, périple au cours duquel
la population était libre de la frapper. Enfin, une des
applications les plus répandue était sans conteste
la torture. A ce propos, il faut noter que très tôt
on a su que certains bourreaux pouvaient retirer du plaisir à
molester leurs victimes et des ordonnances spéciales, du
moyen - âge au 18 éme, ont réglementé
les séances de tortures. Certains bourreaux furent même
à leur tour punis pour avoir commis des excès.
Quant
à l’interconnexion entre le religieux et le
punitif, les exemples ne manquent pas. Tantôt les moines
ou tout abstinent se flagelle pour chasser les ardeurs ,chaleurs
et autres montées de sève. Tantôt il se
mortifie pour chasser de vilaines pensées. Il se flagelle
pour expier une faute commise ou pour se punir de ses péchés.
Parfois c’est l’inverse et ce sont les paroissiens
qui se font frapper. Des exemples de nonnes dévêtues
puis battues sont répertoriés. Plus généralement,
on recherche la mortification de la chair, dans une recherche
mystique, afin de ressentir les douleurs du christ, et de se
rapprocher de dieu.
Quelque
soient les causes, les pratiques et les alibis dans ces quatre
catégories, elle démontre une chose évidente :
L’union du corps et de l’esprit. Si on cherche à
punir l’un c’est pour faire entendre raison à
l’autre. Si l’on meurtri le corps c’est pour
pousser l’esprit plus loin. Si l’on violente le
corps, c’est pour que l’esprit réagisse. Le
principe est fort simple : agir de façon à
souder le corps et l’esprit, en les amenant à se
dépasser, à se stimuler l’un l’autre.
Les informations de douleur physique transmises au cerveau
agissent comme des détonateurs qui forcent la pensée
à avancer, celle ci à son tour transmet au corps
l’ordre d’endurer et de résister…
C’est
cette alchimie qui nous intéresse quand on parle de SM et
de flagellation. Que votre relation soit physique ou très
psychologique, le rapport corps/esprit est à la base de
tout. Si par exemple vous décidez d’attacher votre
partenaire et de laisser seul, pendant X temps, totalement
isolé, son confort physique interviendra à coup
sûr dans sa capacité de résistance et par
delà dans le plaisir qu’il prendra à ce jeu.
Et bien avec le fouet c’est la même chose. Les
premières impressions sont toujours la morsure, la
douleur, et puis l’on décide d’endurer,
d’avancer, de se motiver pour aller plus loin. On habitue
son corps et donc sa pensée, on trouve son confort , on
cherche à se surprendre, à surprendre le
fouetteur. Plus vous recevrez de coups plus votre esprit
s’affolera, analysera, travaillera et plus vous irez Loin
physiquement. Le secret résidant bien évidemment
dans la manière dont vous êtes fouettés. Le
dépassement de soi, l’extraordinaire magie qui
transforme douleur en plaisir, la volonté de continuer à
subir ou a frapper, plus longtemps, plus fort, Tout cela vous
l’obtiendrez avec de bonnes séances, bien
maîtrisées.
Ce
phénomène est chimique. La capacité de
supporter la douleur est directement liée à la
quantité de substances organiques chimiques sécrétées
dans le corps. Dés le début de la séance,
en caressant, en pinçant délicatement la zone à
fouetter on prépare le fouetté, à la fois
physiquement et spirituellement. Cette période
d’échauffement va aller en s’intensifiant
afin de donner au cerveau du fouetté la possibilités
de mobiliser le corps et de sécréter des
neurotransmetteurs analgésiques ou euphorisants. C’est
ce qui fait par exemple que l’on supporte mieux la douleur
quand on approche de l’orgasme.
C’est
cette notion de lien corps /esprit qui anime souvent les clients
des prostitués, spécialisées dans le SM.
Les soumis sont souvent des hommes d’affaire ou des gens à
fortes responsabilités qui viennent se faire fouetter
pour vider le stress de leur esprit, pour se calmer, se
détendre.
Avant
de passer à des notions plus pratiques, plus manuelles,
je voudrai donner quelques conseils (liste non-exhaustive):
Eviter
de vous lancer à corps perdu dans des séances
de flagellation si vous êtes dans un égat second.
Alcool ou drogue en trop grande quantité. Si chez certain
cela a un effet anesthesian, chez d'autre cela peut être
le contraire. La qualité des gestes est bien différentes
selon notre fatique ou notre taux de substances variées
dans le sang...
Convenez
toujours d'un mot ou d'un geste pour arrêter le jeu, si
nécessaire (voir safeword)
On
ne tape pas sur son partenaire comme un abruti, c'est censé
être un plaisir
A
ce propos j’aimerai revenir sur l’idée de la
flagellation dans le cadre d’une punition. Dans un rapport
dominant/dominé. La séance ne doit pas être
utilisé n’importe comment. Car elle doit répondre
à la fois à sa fonction de prise de pouvoir sur
l’autre et aussi à sa fonction de punition.
On
fouettera pour mettre à sa botte et montrer qui est le
maître. Mais on fouettera aussi pour punir l’esclave
désobéissant. C’est pourquoi les coups ne
seront pas les mêmes et les conditions de la séance
changeront. On pourra être plus dur, verbalement par
exemple, ou humilier davantage le dominé, en public
pourquoi pas, dans le cadre d’une punition.
On
n’utilise pas n’importe quel accessoire sans savoir
si son partenaire va encaisser. Le chat à neuf queues par
exemple, avec ses billes de métal au bout n’est pas
un yoyo pour première communiante.
-Oui
la peau ça marque.
-Oui
le sang ça tache.
LA
TORTURE DU SEIN EN GENERAL
La
torture des seins, voilà un sujet charmant, n'est-ce pas
? Parce qu'elle constitue l'un de nos charmes les plus
manifestes, la poitrine a toujours été très
maltraitée au cours des âges. Il faut avouer que
la plupart des femmes apprécient un soupçon de
brutalité de ce côté-là. Combien de
mères ont laissé leurs enfants téter alors
même qu'elle n'avait que peu ou pas du tout de lait ? Il y
aurait un dossier à faire sur le masochisme de la
maternité. Nous en reparlerons si ça vous
intéresse. Mais, à toutes celles qui s'indignent
des pratiques sado-masochistes, je demanderai de s'expliquer
clairement sur la nature du plaisir qu'elles ont pris à
gonfler pendant neuf mois avant d'être déchirées
par l'évacuation d'un marmot bruyant qu'elles ont traîné
ensuite pendant plusieurs années comme un boulet au pied.
Certaines aiment ça, je sais, mais je n'accepterai leurs
réflexions que lorsque je serai sûre que leur
plaisir est dépourvu de tout masochisme... J'aime bien
que l'on me manipule les seins lorsque je fais l'amour, j'aime
même qu'on me les pince violemment et j'aime d'autres
choses aussi, mais je ne vais pas vous raconter mes
turpitudes... Il y a une relation évidente entre les
mamelons et l'orgasme, au point que l'on croyait au XVIIIe
siècle à l'existence d'un nerf les reliant
directement aux organes sexuels. Ce nerf n'existe pas, bien sûr,
mais bon nombre de femmes (et d'hommes, donc !) trouvent un
plaisir extrême à la manipulation brutale des
mamelons. Evidemment, la technique permet de se procurer des
satisfactions supplémentaires en gardant les mains
libres.
La
torture des seins peut s'exercer de différente façon,
et notamment par flagellation (au sens large), mais aussi par
contact chaud (cire), froid (glaçons) ou urticant
(orties) Ces pratiques administrées sur les seins,
endroits sensibles s'il en est n'étant pas
fondamentalement différentes de ce qu'on peut effectuer
sur les autres parties du corps, nous ne nous étendrons
pas et nous préférons nous attarder sur les
techniques de serrage
La
pince à linge
La
pince à linge est certainement l'ustensile le plus
fréquemment employé pour la bonne raison qu'il y
en a dans tous les foyers. Signalons tout de suite qu'il faut
toujours veiller à ce que les pinces en plastique ne
soient pas usées. En effet, il est fréquent
qu'elles se coupent juste au-dessus du ressort et je vous défie
de retirer une pince dont la partie supérieure vient de
se briser sans vouloir faire sérieusement mal !
Une
méthode astucieuse consiste à utiliser deux pinces
en bois mises l'une sur l'autre, perpendiculairement. Il est
préférable de limer le renflement des "
mâchoires " de la pince transversale. Vous la placez
ensuite sur la première, celle qui pince le mamelon et,
selon que vous la placiez plus ou moins près de la
poitrine, vous pouvez faire varier la pression depuis une
pression nulle jusqu'à une pression double de celle d'une
seule pince.
Les
autres pinces :
le
choix est vaste, il suffit d'aller en grandes surfaces : nous
trouverons des pinces " à torchons " évitez
les pinces dites " en huit " peu maniables, et
préférez les pinces crocodiles, avec si possible
la boucle pivotante. Je vous conseille également les
pinces à nappes munis de poids, les " pinces à
verres ", répliques miniatures des pinces à
linges, les pinces " à sachets " et les pinces
à dessins dont on trouve maintenant de très
grandes variétés. Sans oublier le porte manteau à
pinces qui offre des possibilités intéressantes
mais dont l'esthétisme est assez déplorable ! Il
faut évidemment tester tout cela, les mâchoires ne
doivent pas exercer une pression insoutenable, et bien
évidemment ne doivent pas déchirer, un bon moyen
de tester est d'appliquer les pinces en question sur l'étroite
bande de chair située entre la base du pouce et celle de
l'index.
Les
gadgets que l'on trouve en sex-shop ont un énorme
inconvénient : ils sont chers ! Par contre ils offrent
(en principe) toute sécurité. On va trouver outre
la pince articulée désormais classique, des minis
étaux, serre-joints, et même des mini tapettes à
souris.
Les
dispositifs :
Au préalable
il y a deux conditions à respecter pour que la victime
puisse apprécier son tourment -
La pression exercée sur chaque mamelon doit être
exactement la même. Dans tous les cas où cette
pression est réglable, il est indispensable que ce soit
la victime elle-même qui mette en place le dispositif.
Elle seule peut répartir les sensations comme il lui
convient. La pression doit donner l'impression de s'exercer au
même endroit sur les deux mamelons, et avec la même
force. Or, parce que les sensations varient selon qu'elles
émanent d'un côté ou de l'autre du corps, ni
la force ni l'emplacement ne peuvent être établis
d'une manière définitive. - Toute pression
intense exercée sur les mamelons doit être arrêtée
IMMEDIATEMENT après l'orgasme, et comme les limites
temporelles de celui-ci peuvent ne pas être absolument
évidentes, il est indispensable de se fier aux
indications de la victime. En effet, par l'un de ces mystères
de la nature, ce qui est très agréable peut
brutalement devenir insupportable. La plupart d'entre vous
savent de quoi je parle, mais ceux ou celles qui ne le savent
pas doivent me croire sur parole qu'un mamelon soit plus pincé
que l'autre ou que le pinçon dure au-delà du temps
nécessaire et il n'y a plus aucun plaisir. Evidemment,
toutes les indications de cet article s'adressent à des
personnes conscientes et responsables. Les brutes n'ont pas
besoin de conseils pour exercer leurs méfaits!
Pour
lier le mamelon
Utilisez toujours
la boucle représentée, à l'exclusion de
toute autre forme de ligotage. Ne faites JAMAIS de nœud
autour du mamelon ! Les nœuds sont difficiles à
défaire et il est important de pouvoir libérer le
mamelon rapidement. Ne liez jamais les mamelons plus de dix
minutes! Lorsqu'ils deviennent rouge sombre ou violet, il est
temps de les libérer et de les masser doucement pour
activer la circulation. Nul doute d'ailleurs que cette
précaution attentionnée éveillera des
sensations intenses chez votre partenaire! La boucle
présentée ici ne tient que par la tension de la
ficelle. Dès que la tension est relâchée, la
ficelle se détache. Il n'existe à notre
connaissance aucun système assurant plus de sécurité.
La
ficelle et les poids.
N'achetez
pas des poids en sex-shop, vous allez les payer 10 fois leur
prix ! Un poids c'est un poids, et les pinces à nappes
munis de poids feront très bien l'affaire, en plus il y
en a de très jolis ! Ce dispositif est extrêmement
simple à réaliser et peut être utilisé
soit pour maintenir votre partenaire en punition, soit pour la
promener en vous servant des ficelles en guise de rênes. Dans
le cas de la punition immobile, passez les ficelles par-dessus
un support spécial. Les poids sont à choisir selon
les capacités de résistance de votre partenaire.
Deux cents grammes par mamelon représentent déjà
une performance qui n'est accessible qu'aux plus
expérimentées! N'attachez jamais les ficelles à
un support fixe! Même dans le cas où votre victime
est allongée ou immobilisée, un choc accidentel
contre les ficelles peut avoir des conséquences
catastrophiques! Les pinces sont évidemment
facultatives. Lorsqu'elles sont placées ainsi, elles
arrêtent la circulation sanguine et il convient donc de ne
jamais les laisser à la même place plus de dix
minutes. Ajoutées progressivement pendant la montée
du plaisir, elles provoquent une douleur tour à tour
lancinante et brutale. Ainsi que nous l'avons expliqué
plus haut, il convient de les retirer IMMEDIATEMENT après
l'orgasme.
Une
barre pour écarter
Ce
dispositif n'est qu'une sophistication du précédent.
Les seins se trouvent écartés par la barre et
étirés en même temps. Il convient de faire
extrêmement attention à ne pas heurter la barre
lorsqu'elle se trouve en place, car les boucles des mamelons ne
se détendent pas suffisamment si le choc frappe
latéralement et la peau du mamelon (pour le moins) risque
d'être arrachée!
Sur
les pratiques à déconseiller
Les
aiguilles : leur principal danger est le risque d'infection. A
moins de procéder dans une salle d'opération et en
respectant les mêmes précautions qu'une équipe
chirurgicale, ces risques sont très élevés.
La stérilisation de l'aiguille à la flamme est
loin d'être suffisante, sans parler des blessures graves
et des douleurs que vous pourriez provoquer. L'électricité
: Sachez qu'il est très dangereux d'appliquer un courant
électrique sur toutes les parties du corps au-dessus de
la ceinture, ainsi qu'au voisinage des principales veines et
artères (c'est-à-dire en particulier sur les
organes sexuels). D'autre part, le problème de
l'électricité est celui de l'ampérage
autant que du voltage. N'utilisez jamais un montage électrique
branché sur le secteur (Signalons au passage que
chaque année, un certain nombre de gens meurent
électrocutés sur un siège de toilette muni
d'un broyeur électrique...) Quant aux barbelés
et à la suspension par les seins, ils se passent,
je pense de tous commentaires...
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ASTUCES DU MAITRE
Les tratis d'un bon Maitre
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vous Dominant ou Maitre
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A
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