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ZONE MEMBRE |
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BDSM PASSIONS L'ANTRE DES INITIES
LES ASTUCES DU MAITRE(SSE) QUELQUES PRATIQUES BD/SM
ATTACHER QUELQU'UN CONTRE UN MUR Si
vous êtes un dominateur ou une dominatrice équipé
le problème ne se pose évidemment pas, vous avez
un donjon avec une croix de st André et/ou des anneaux
fixés dans le mur…
1 - Fixer 4 bracelets en cuir munis de clips à votre esclave : 2 aux poignets, 2 aux chevilles 2 - Choisissez l'une des portes de la pièce ou vous allez pratiquer la soumission 3 - Prenez une corde et fixez en l'extrémité sur la poignée de la porte (mais attention, la poignée EXTERIEURE à la pièce) 4 - Faites passer la corde par-dessus la porte 5 - Ordonnez à votre esclave de se mettre contre la porte et de lever les bras 6 - On va faire rejoindre l'autre extrémité de la corde aux 2 clips des poignets que l'esclave va joindre (une variante consiste à clipper préalablement les poignets à une barre d'écartement, il faudra alors fixer la corde au centre de la barre) 7 - On ne serre pas le nœud pour l'instant, il faut maintenant s'occuper des chevilles 8 - Pour les chevilles, pas besoin de corde, mais une barre d'écartement clippée sur les bracelets de chevilles 9 - Vous pouvez régler maintenant la corde, ( vous le faites comme bon vous semble, mais un bon réglage consiste à tirer vers le haut jusqu'à ce que l'esclave n'ait que la pointe des pieds en contact avec le sol) et la nouer ! 10
- Votre esclave est maintenant attaché, il lui est
impossible de se délivrer 1) Remplacer les 4 bracelets par de la ficelle, dont vous doublerez ou triplerez l'épaisseur, ces bracelets devront être bien serrés, mais devront malgré tout laisser passer la corde. 2) La corde peut être remplacée par de la corde à linge 3)On
peut se débrouiller pour faire une barre d'écartement
avec un rouleau à pâtisserie, un manche à
balai, un tube d'aspirateur, ou si vous êtes à la
campagne, un bon bout de bois ! 1.
N’achetez pas des menottes bon marché
2. N’achetez pas de menottes sans un mécanisme de double fermeture Habituellement, le blocage se fait en insérant la partie pointue de la clé des menottes dans un petit trou situé sur le dessus des menottes. Le déblocage se fait en tournant la clé dans la serrure normale. N’achetz pas de menottes dont le blocage se fait au moyen d’un petit levier. C’est caractéristique des menottes bon-marché. Ce système de levier peut se débloquer sans qu’on le fasse exprès et à l’usage il devient moins efficace. 3. Toujours verrouiller les menottes après les avoir appliquées. Des menottes non verrouillées peuvent se resserrer sur les poignets si le " prisonnier " bouge ou change de position, et peuvent occasionner des dommages aux nerfs. 4. Ne serrez pas trop les menottes Les menottes n’ont pas besoin d’être trop serrées pour assurer une immobilisation. Ne serrez pas les menottes plus que nécessaire. Du moment que les mains ne peuvent sortir des menottes c’est suffisamment serré. On doit pouvoir bouger les menottes sur les poignets de votre prisonnier après qu’elles soient verrouillées. Assurez vous qu’elles ne coincent pas la peau. 5. Ne suspendez jamais votre prisonniere par des menottes Cela peut causer de graves dommages aux nerfs. Etre suspendu(e) les bras au dessus de la tête avec des menottes en acier, même avec les pieds au sol, peut causer de sérieux dommages si la tension est grande ou la position gardée plus de quelques minutes. 6. Ne menottez pas en faisant un grand mouvement à la volée Vous pouvez briser le poignet de quelqu’un en agissant ainsi. Le bord extérieur de la menotte doit être appliqué contre le poignet, une courte pression sufft à refermer la menotte. Entrainez vous sur vous-même jusqu’à ce que vous maitrisiez cette technique. Si vous vous faites mal, vous ferez mal au prisonnier. 7. Attachez les mains derrière le dos A moins que fixées autrement, les menottes portées devant peuvent être une arme dangereuse. Pour les scènes SM ou la sécurité est moins importante que le fait de minimiser le danger pour le (la) soumis(e), il vaut mieux attacher les mains derrière le dos, les paumes des mains se faisant face. La position où le dos des mains de font face offre une meilleure " sécurité " en limitant plus les mouvements potentiels (c’est pourquoi les policiers sont entrainés à menotter ainsi) mais est plus risquée et moins confortable. 8. N’attachez pas les chevilles directement avec des menottes Les menottes aux chevilles n’ont pas besoin d’être très errées pour rester en place. Si elles sont serrées le (la) soumis(e) ne pourras pas marcher, et la pression peut endommager le tendon d’Achille ou blesser la cheville. Les menottes aux chevilles par dessus les bottes sont préférables si vous voulez que le (la) soumis(e) puisse marcher. 9. Gardez le double des clés à portée de main. Rien de plus désagréable que d’essayer d’enlever les menottes du prisonnier ou celles que vous vous êtes mises et de vous apercevoir que vous ne trouvez plus les clés !
Contrairement
à d'autres accessoires (orties, bougies…) les
glaçons sont d'une apparition récente dans les
relations SM ! La raison en est toute simple, le réfrigérateur
est une invention moderne et sa banalisation l'est encore
davantage.
Comme
je vous l'avais dit, je pense qu'une fessée doit
s'accompagner du maximum d'humiliation: tout d'abord, le futur
puni doit le savoir largement avant afin de s'imprégner
et de bien comprendre que la punition est inéluctable et
qu'elle sera appliquée sans sadisme mais sans aucune
faiblesse ni pitié.
Il semblait tout d’abord évident que dans l’imagerie générale du hard, les sévices corporels tiennent le haut du pavé. Suivi de prés par tout ce qui touche à l’entrave : BONDAGE, MENOTTES, LIENS, MOMIFICATIONS, etc… La troisième grande ligne étant le rapport dominant dominé avec toutes ses variantes et implications. Dans l’esprit de beaucoup, adeptes ou non de ce genres de pratiques, le SM c’est d’abord l’idée d’un corps soumis à la souffrance et d’un maître qui inflige cette souffrance. Naturellement cette dernière prendra tous les aspects possibles et imaginables : bougies, aiguilles, pinces, électricité, scarification, brûlures, et bien entendu la flagellation. La flagellation qu’est ce que c’est ? Ce mot du 14 éme siècle, vient de la famille latine de FLAGRUM signifiant fouet à plusieurs lanières garnies de boutons de métal et d’os. Dans la même famille on trouve le mot FLAGELLUM : fouet plus petit et cinglant. Le mot fouet quant à lui est un mot du 13 éme siècle, qui vient du latin FAGUS, le hêtre, et signifie verge de hêtre. A noter que le mot fléau, instrument pour battre le blé, a la même racine ; ainsi que le mot fêlure qui signifie littéralement trace de fouet. Il est intéressant de noter que déjà dans le latin ecclésiastique, le mot fléau signifie aussi, châtiment envoyé par DIEU. On le voit donc, la flagellation inclus l’idée d’instrument, de mouvement, et d’action. On pourra donc fouetter son partenaire avec toutes sortes d’ustensiles : fouet, verge, bâton, badine, canne, bambou, ceinture, ceinturon, lanière, courroie, martinet, chat à neuf queues, cravache, baguette, nerf de bœuf, chambrière, orties, chardons, épines, herbes, raquettes, paddles, battes, …la liste n’est pas exhaustive et laisse libre cours à votre imagination. Les gifles et les fessées même si elles peuvent faire partie intégrante d’une bonne flagellation font souvent l’objet d’une séance à part entière et nécessitent une technique qui leur est propre. Nous ne ferons que la survoler ici. Si l’on essaie de dresser un arbre généalogique de la flagellation, on se rend vite compte que cette pratique a dans l’histoire trois grandes utilisations: On trouvera bien sûr une interconnexion entre la religion et la punition. Mais je vous rassure, l’homme a toujours su se servir de son imagination et de son environnement pour son plaisir. C’est pourquoi, une quatrième utilisation de la flagellation, sexuelle cette fois, apparaît en filigrane tout au long de l’histoire, et ce dés le Kama Sutra. Elle n’est cependant un phénomène sexuel, clairement assouvi et assumé que depuis le 17 éme siècle. Religieusement, la flagellation est utilisée souvent pour atteindre des états de transe. Les chaman par exemple considèrent que c’est un excellent moyen de se perdre soi-même afin d’entrer en contact avec Dieu. Lors de cérémonies ou de rites, on utilise la flagellation afin d’attirer l’attention des divinités ou de rendre les femmes fertiles. Le culte de diane chasseresse par exemple donnait lieu à de véritables concours de fouet. Les missionnaires quant à eux ont allègrement utilisé le fouet en Afrique, au Mexique ou au Paraguay, afin de forcer les populations à se convertir. Médicalement on a fouetté les fous entre le 17 et le 19 éme siècle. A Rome, le culte de Junon demandait à se que l’on fouettât les femmes pour lutter contre leur stérilité. Et d’une façon plus général on a longtemps cru que la flagellation aidait à lutter contre l’impuissance. On a souvent utilisé le fouet en guise d’électrochoc pour « réveiller » un malade ou une personne dérangée. Dans l’armée, dans la police, dans la marine… on a également largement utilisé la flagellation. Les mutineries étaient punies par le fouet ainsi que les manquement à la règle. On recourait également au fouet pour faire des exemples. Pour calmer des ardeurs belliqueuses ou des récalcitrants. Des déserteurs furent fouettés ainsi que des soldats en cas d’échec de leur mission. La police s’en servait régulièrement pour punir des fautes ou faire parler des suspects. Il n’était, par exemple, pas rare d’attacher une prostitué nue sur un âne. On lui faisait faire tout un périple jusqu’à la prison, périple au cours duquel la population était libre de la frapper. Enfin, une des applications les plus répandue était sans conteste la torture. A ce propos, il faut noter que très tôt on a su que certains bourreaux pouvaient retirer du plaisir à molester leurs victimes et des ordonnances spéciales, du moyen - âge au 18 éme, ont réglementé les séances de tortures. Certains bourreaux furent même à leur tour punis pour avoir commis des excès. Quant à l’interconnexion entre le religieux et le punitif, les exemples ne manquent pas. Tantôt les moines ou tout abstinent se flagelle pour chasser les ardeurs ,chaleurs et autres montées de sève. Tantôt il se mortifie pour chasser de vilaines pensées. Il se flagelle pour expier une faute commise ou pour se punir de ses péchés. Parfois c’est l’inverse et ce sont les paroissiens qui se font frapper. Des exemples de nonnes dévêtues puis battues sont répertoriés. Plus généralement, on recherche la mortification de la chair, dans une recherche mystique, afin de ressentir les douleurs du christ, et de se rapprocher de dieu. Quelque soient les causes, les pratiques et les alibis dans ces quatre catégories, elle démontre une chose évidente : L’union du corps et de l’esprit. Si on cherche à punir l’un c’est pour faire entendre raison à l’autre. Si l’on meurtri le corps c’est pour pousser l’esprit plus loin. Si l’on violente le corps, c’est pour que l’esprit réagisse. Le principe est fort simple : agir de façon à souder le corps et l’esprit, en les amenant à se dépasser, à se stimuler l’un l’autre. Les informations de douleur physique transmises au cerveau agissent comme des détonateurs qui forcent la pensée à avancer, celle ci à son tour transmet au corps l’ordre d’endurer et de résister… C’est cette alchimie qui nous intéresse quand on parle de SM et de flagellation. Que votre relation soit physique ou très psychologique, le rapport corps/esprit est à la base de tout. Si par exemple vous décidez d’attacher votre partenaire et de laisser seul, pendant X temps, totalement isolé, son confort physique interviendra à coup sûr dans sa capacité de résistance et par delà dans le plaisir qu’il prendra à ce jeu. Et bien avec le fouet c’est la même chose. Les premières impressions sont toujours la morsure, la douleur, et puis l’on décide d’endurer, d’avancer, de se motiver pour aller plus loin. On habitue son corps et donc sa pensée, on trouve son confort , on cherche à se surprendre, à surprendre le fouetteur. Plus vous recevrez de coups plus votre esprit s’affolera, analysera, travaillera et plus vous irez Loin physiquement. Le secret résidant bien évidemment dans la manière dont vous êtes fouettés. Le dépassement de soi, l’extraordinaire magie qui transforme douleur en plaisir, la volonté de continuer à subir ou a frapper, plus longtemps, plus fort, Tout cela vous l’obtiendrez avec de bonnes séances, bien maîtrisées. Ce phénomène est chimique. La capacité de supporter la douleur est directement liée à la quantité de substances organiques chimiques sécrétées dans le corps. Dés le début de la séance, en caressant, en pinçant délicatement la zone à fouetter on prépare le fouetté, à la fois physiquement et spirituellement. Cette période d’échauffement va aller en s’intensifiant afin de donner au cerveau du fouetté la possibilités de mobiliser le corps et de sécréter des neurotransmetteurs analgésiques ou euphorisants. C’est ce qui fait par exemple que l’on supporte mieux la douleur quand on approche de l’orgasme. C’est cette notion de lien corps /esprit qui anime souvent les clients des prostitués, spécialisées dans le SM. Les soumis sont souvent des hommes d’affaire ou des gens à fortes responsabilités qui viennent se faire fouetter pour vider le stress de leur esprit, pour se calmer, se détendre. Avant de passer à des notions plus pratiques, plus manuelles, je voudrai donner quelques conseils (liste non-exhaustive): Eviter de vous lancer à corps perdu dans des séances de flagellation si vous êtes dans un égat second. Alcool ou drogue en trop grande quantité. Si chez certain cela a un effet anesthesian, chez d'autre cela peut être le contraire. La qualité des gestes est bien différentes selon notre fatique ou notre taux de substances variées dans le sang... Convenez toujours d'un mot ou d'un geste pour arrêter le jeu, si nécessaire (voir safeword) On ne tape pas sur son partenaire comme un abruti, c'est censé être un plaisir A ce propos j’aimerai revenir sur l’idée de la flagellation dans le cadre d’une punition. Dans un rapport dominant/dominé. La séance ne doit pas être utilisé n’importe comment. Car elle doit répondre à la fois à sa fonction de prise de pouvoir sur l’autre et aussi à sa fonction de punition. On fouettera pour mettre à sa botte et montrer qui est le maître. Mais on fouettera aussi pour punir l’esclave désobéissant. C’est pourquoi les coups ne seront pas les mêmes et les conditions de la séance changeront. On pourra être plus dur, verbalement par exemple, ou humilier davantage le dominé, en public pourquoi pas, dans le cadre d’une punition. On n’utilise pas n’importe quel accessoire sans savoir si son partenaire va encaisser. Le chat à neuf queues par exemple, avec ses billes de métal au bout n’est pas un yoyo pour première communiante. -Oui la peau ça marque. -Oui le sang ça tache.
La torture des seins peut s'exercer de différente façon, et notamment par flagellation (au sens large), mais aussi par contact chaud (cire), froid (glaçons) ou urticant (orties) Ces pratiques administrées sur les seins, endroits sensibles s'il en est n'étant pas fondamentalement différentes de ce qu'on peut effectuer sur les autres parties du corps, nous ne nous étendrons pas et nous préférons nous attarder sur les techniques de serrage La pince à linge La pince à linge est certainement l'ustensile le plus fréquemment employé pour la bonne raison qu'il y en a dans tous les foyers. Signalons tout de suite qu'il faut toujours veiller à ce que les pinces en plastique ne soient pas usées. En effet, il est fréquent qu'elles se coupent juste au-dessus du ressort et je vous défie de retirer une pince dont la partie supérieure vient de se briser sans vouloir faire sérieusement mal ! Une méthode astucieuse consiste à utiliser deux pinces en bois mises l'une sur l'autre, perpendiculairement. Il est préférable de limer le renflement des " mâchoires " de la pince transversale. Vous la placez ensuite sur la première, celle qui pince le mamelon et, selon que vous la placiez plus ou moins près de la poitrine, vous pouvez faire varier la pression depuis une pression nulle jusqu'à une pression double de celle d'une seule pince. Les autres pinces : le
choix est vaste, il suffit d'aller en grandes surfaces : nous
trouverons des pinces " à torchons " évitez
les pinces dites " en huit " peu maniables, et
préférez les pinces crocodiles, avec si possible
la boucle pivotante. Je vous conseille également les
pinces à nappes munis de poids, les " pinces à
verres ", répliques miniatures des pinces à
linges, les pinces " à sachets " et les pinces
à dessins dont on trouve maintenant de très
grandes variétés. Sans oublier le porte manteau à
pinces qui offre des possibilités intéressantes
mais dont l'esthétisme est assez déplorable ! Les gadgets que l'on trouve en sex-shop ont un énorme inconvénient : ils sont chers ! Par contre ils offrent (en principe) toute sécurité. On va trouver outre la pince articulée désormais classique, des minis étaux, serre-joints, et même des mini tapettes à souris. Les
dispositifs : Pour
lier le mamelon La ficelle et les poids. N'achetez
pas des poids en sex-shop, vous allez les payer 10 fois leur
prix ! Un poids c'est un poids, et les pinces à nappes
munis de poids feront très bien l'affaire, en plus il y
en a de très jolis ! Une barre pour écarter Ce dispositif n'est qu'une sophistication du précédent. Les seins se trouvent écartés par la barre et étirés en même temps. Il convient de faire extrêmement attention à ne pas heurter la barre lorsqu'elle se trouve en place, car les boucles des mamelons ne se détendent pas suffisamment si le choc frappe latéralement et la peau du mamelon (pour le moins) risque d'être arrachée! Sur les pratiques à déconseiller Les
aiguilles : leur principal danger est le risque d'infection. A
moins de procéder dans une salle d'opération et en
respectant les mêmes précautions qu'une équipe
chirurgicale, ces risques sont très élevés.
La stérilisation de l'aiguille à la flamme est
loin d'être suffisante, sans parler des blessures graves
et des douleurs que vous pourriez provoquer.
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LES ASTUCES DU MAITRE Les regles de base du Maitre et de l'esclave Les motivations a la soumission A la decouverte de la restriction
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